Chacun sa nuit, chacun sa mort
Chacun sa nuit, le titre de ce long métrage réalisé par le sulfureux Jean-Marc (souvenez vous de Too much flesh) avec Pascal Arnold, résume qu'une partie du film qui s'avère être la plus interessante.
En effet, ce film qui narre l'histoire d'une bande de jeunes inséparables et libérés sexuellement vaut surtout pour l'ambiance très sensuelle qui l'habite.
Les réalisateurs, très bien servis par une lumière impéccable, parviennent à montrer la grande liberté dont bénéficient les personnage et le prix à payer de cette liberté. Le danger plane constamment au dessus de ces futurs adultes qui ne parviennent pas à quitter leur monde adolescent et qui continuent à fuir dans leur idéal de liberté.
Les réalisateurs, très bien servis par une lumière impéccable, parviennent à montrer la grande liberté dont bénéficient les personnage et le prix à payer de cette liberté. Le danger plane constamment au dessus de ces futurs adultes qui ne parviennent pas à quitter leur monde adolescent et qui continuent à fuir dans leur idéal de liberté.
Il faut alors un drame terrible pour franchir l'étape du passage à l'âge adulte. Ils en seront tous auteurs et victimes. C'est ce que nous montre le film par une construction en flash back très efficace et jamais pénible.
