Potiche, Date limite, Belle épine
Week end pluvieux, week end cinéma !
Tout dabord, le film tant attendu de François Ozon, son grand retour à la comédie après 8 femmes, ses retrouvailles avec
Autant dire que javais hâte de voir ce long métrage qui a reçu des critiques dithyrambiques. Au final, le film se révèle fort sympathique avec des bons moments de comédie, une interprétation parfaite (Deneuve toujours très bien dans les comédies, dommage quelle soit botoxée, cela gâche un peu ses expressions du visage, Depardieu décidément magistral cette année, Karine Viard très amusante dans un rôle sur mesure et certainement une nomination aux César à la clef, Luchini fidèle à lui-même, Judith Godrèche parfaite en peste tout comme Rénier en fis à maman), et une très belle mise en scène.
Le seul petit problème est une baisse de rythme dans la deuxième partie, mais rien de dérangeant. Une pluie de nominations aux César est à prévoir.
Date Limite ensuite, nouveau film du réalisateur de lexcellent Very bad trip. Le moins que lon puisse dire est que ce film est un ratage complet. Pas drôle du tout, brouillon, convenu et une interprétation décevante
Un silence gêné pendant toute la première partie a régné dans
Enfin, Belle épine, un film sur ladolescence, sur le deuil, le tout durant le début des années 80. Quelques scènes absolument magnifiques visuellement, une interprétation sans faille (Léa Seydoux désormais favorite pour le César du meilleur espoir féminin), beaucoup de pudeur. Ce film est une vraie réussite.